Le journal The Guardian a publié une enquête sur la manière
dont Le Comité d’Organisation des Jeux Olympiques de Londres, compte défendre
les droits de ces partenaires commerciaux.
Prêt à se rendre dans tous les WC pour vérifier que le
papier toilette ou la marque de savon ne serait pas celle d’un des sponsors des
JO, un loi spécifique a été créée en 2006 pour étendre encore davantage la
protection des droits de propriété intellectuelle liés à l'évènement, et créer
des sanctions pénales spécifiques.
Les athlètes ont interdiction formelle de publier photos ou
vidéos sur leurs comptes Twitter ou Facebook, et n'auront pas le droit
d'évoquer la marque des Corn-Flakes qu'ils mangent au petit déjeuner ou du
téléphone qu'ils utilisent, sauf s'il s'agit d'une marque partenaire.
Les spectateurs aussi sont concernés. Tous les possesseurs
d'un billet auront interdiction de publier sur Internet leurs photos ou vidéos
prises dans le village olympique ou dans les enceintes sportives, pour
préserver l'exclusivité des médias partenaires qui payent les droits de
diffusion. "Nous travaillons étroitement avec toutes les plateformes pour
s'assurer que les marques et les droits de propriété intellectuelle sont
respectés et pour avoir un mécanisme en place dans le cas d'une violation (des
droits)", explique le LOCOG.
L’esprit fédérateur des JO d’antan, est devenu l’esprit du
pognon.
L'essentiel est de participer .... Pierre de Coubertin ..
L'essentiel est de participer financièrement… Comité International Olympique
L'essentiel est de participer financièrement… Comité International Olympique
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